Découvrez notre vice-président des ventes, Brahim Bouhadja, et son objectif de faire de Sweep le "Salesforce of Carbon".
Parlez-nous de votre voyage climatique
Au cours de ma carrière au sein de plateformes B2B telles que Salesforce, j'ai commencé à ressentir le besoin d'un sens ou d'un objectif plus profond. C'est pourquoi, avec certains de mes collègues de Salesforce, j'ai créé l'associationForce de la lumièreune ONG qui fournit de l'énergie solaire aux communautés privées d'électricité dans le monde entier. C'était très gratifiant. Mais à la même époque, j'ai commencé à en apprendre beaucoup sur le changement climatique. Plus je me rendais compte de l'importance du problème, plus je ressentais le besoin de faire quelque chose pour y remédier.
J'ai également été confrontée à l'idée de ce que nous laissons aux générations futures. La famille est très importante pour moi. J'ai quatre sœurs et quatre frères, et plus de 15 neveux et nièces. Ce sont les personnes les plus importantes de ma vie. Je ne pouvais pas leur laisser le monde dans cet état. Je ne pouvais pas les laisser hériter du gâchis climatique que nous avons créé. Je devais agir.
Pourquoi avez-vous rejoint Sweep ?
La lutte contre le changement climatique doit être menée par les entreprises. Elles peuvent agir rapidement et efficacement, à condition de disposer des bons outils et des bonnes données, et d'être motivées pour le faire.
Lorsqu'un ami m'a présenté Rachel Delacour, PDG et cofondatrice de Sweep, notre conversation sur Sweep m'a marqué. Sa passion pour le sujet était tout simplement contagieuse. Elle m'a parlé du produit, de l'approche réseau de la gestion du carbone, de l'équipe de Sweep – un mélange parfait de logiciels, de carbone et d'expertise commerciale – et de la liste impressionnante de clients de haut niveau issus de divers secteurs d'activité. J'ai immédiatement perçu le potentiel de Sweep à avoir un impact réel à grande échelle. C'était donc une évidence : Je devais rejoindre Sweep.
Maintenant que je suis ici, je comprends pourquoi Rachel est si passionnée : nous sommes toujours à la recherche d'améliorations, toujours à la recherche de la prochaine étape pour construire la solution de gestion du carbone la plus complète qui soit.
Où voyez-vous Sweep dans 5 ans ?
Le rêve de nombreuses start-ups est de devenir une "licorne" (atteindre une valeur de marché de plus d'un milliard de dollars). Je souhaite que Sweep devienne une "licorne du carbone", en gérant plus d'un milliard de tonnes d'émissions. Sweep a le potentiel pour devenir le Salesforce de la gestion du carbone, en travaillant avec les plus grandes entreprises du monde et en les connectant pour atteindre un niveau de collaboration sans précédent. Nous commençons déjà à voir ces effets de réseau à l'œuvre, avec un nombre croissant d'entreprises qui s'associent à nous pour proposer Sweep à leurs fournisseurs et partenaires commerciaux. Pour moi, c'est l'avenir. Le changement climatique est un problème collectif, qui exige une solution collective. En travaillant ensemble, nous pouvons faire beaucoup plus.
L'autre aspect très prometteur est l'évolutivité de Sweep. Nous serons toujours dédiés à la gestion du carbone, mais nous sommes en train de devenir un outil complet d'impact environnemental, afin que les entreprises puissent suivre l'eau, les déchets, la biodiversité et les métriques ESG en plus de leur carbone (restez à l'écoute 🤫).
Quel est le dernier livre que vous avez lu et qui vous a inspiré ?
J'ai récemment lu la bande dessinée de Jean-Marc Jancovici et Christophe Blain intitulée "Le Monde Sans Fin". Ils rendent le sujet du changement climatique, souvent trop sérieux et académique, beaucoup plus digeste. C'est une lecture drôle et légère, mais qui donne aussi à réfléchir sur la manière dont notre mode de vie, notre économie, notre énergie et notre société en général devraient être organisés. Et ce que je pense de ce livre, c'est qu'il ne vous culpabilise pas et ne vous met pas sur la défensive, ce qui vous rend plus réceptif à la réflexion sur ces grandes questions.